Parlez-nous de la fondation de Chants Libres
Avec Pauline Vaillancourt et Joseph Saint-Gelais, on désirait donner naissance à des oeuvres récentes pour l’opéra. Pauline Vaillancourt était le noyau autour duquel cette aventure a commencé.

Qu’est-ce qui vous a convaincu de participer à cette grande aventure justement ?
J’ai vu Pauline chanter l’opéra La voix Humaine à Montréal et c’était formidable ! Cela m’a vraiment donné envie de créer quelque chose avec elle, d’autant plus que je trouve que c’est une artiste géniale !

Quelle était votre implication ? 
J’étais impliqué dans les textes des premières créations Il suffit d’un peu d’air (1992) et La princesse blanche (1993). En tant qu’écrivain j’avais bien sûr une facilité pour rédiger les textes en général. Par exemple j’ai proposé Chants Libres pour le nom de la compagniedont le double sens exprimait bien ce champs des possibles en plus d’évoquer la liberté et le chant.

Un souvenir avec Chants Libres à partager ?
Le moment le plus émouvant s’est passé lors des premières répétitions pour l’opéra Il suffit d’un peu d’air (1992) dont j’avais écrit le livret. Voir tous les musiciens, chanteurs et artistes réunis au Centre Pierre-Péladeau, entendre les premiers accords, découvrir les partitions… c’était comme un couronnement.

 

Un petit mot à transmettre à Pauline pour les 30 ans de Chants Libres ?
Pauline, continue d’être une créatrice aussi merveilleuse !

R Tremblay
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