Livret : Claude Gauvreau
Serge Provost, musique | Claude Gauvreau, livret | Lorraine Pintal, mise en scène | Sylvain Bissonnette, assistance à la mise en scène | Michel Goulet, scénographie | Ginette Noiseux, costumes | Barbara Muckle, assistance aux costumes | Guy Simard, éclairages | Stéphane Jolicoeur, assistance aux éclairages | Jacques-Lee Pelletier, maquillages | Dulcinée Langfelder, chorégraphie | Gino Colombo, coiffure
Doug MacNaughton, baryton, Le vampire
Pauline Vaillancourt, soprano, L’adorable verrotière et la nymphomane
Fides Krucker, mezzo-soprano, La femme aux deux pieds bots
Albert Millaire, comédien, L’homme aux deux pieds bots
Monique Mercure, comédienne, La mère du vampire
Jean Maheux, comédien, L’aliéniste et un chien policier
Sylvio Archambault, comédien, Un chien policier
Nadya Blanchette, soprano, demoiselle
Geneviève Charest, soprano, demoiselle
Éthel Guéret, soprano, demoiselle
Claude Lemieux, comédien, Le mari de l’adorable verrotière
Nouvel Ensemble Moderne (NEM), Lorraine Vaillancourt, chef
REPRISE
Bryan Nickel, baryton, Le vampire | Renée Lapointe, mezzo-soprano, La femme aux deux pieds bots | Renaud Paradis, baryton, Un chien policier | Chantal Dionne, soprano, demoiselle | Maryse Inis, soprano, demoiselle
Création
24, 25, 27, 28 septembre 1996, Usine C, Montréal
Diffusion
22, 23, 24 octobre 1998, Usine C, Montréal
par Claude Gauvreau
traduit par Ray Ellenwood
Cette publication en format tête-bêche — augmentée de photos de la production de 1996 et d’essais du traducteur et des éditeurs — constitue la première édition autonome de Vampire et la nymphomane, sa toute première traduction en anglais et la première édition bilingue d’un texte de Gauvreau.
Diffusion sur les ondes de Radio-Canada – 7 décembre, 1996 – Opéra du samedi.
Œuvre subversive, iconoclaste et opaque, cet unique opéra du poète automatiste offre une suite contrastée de moments et d’images, en trois «phases». Poésie brute et langage exploréen président à la naissance d’un Vampire et à ses amours sulfureuses avec la Femme aux deux pieds bots, puis avec l’Adorable Verrotière transformée en Nymphomane.
Critiques
« Musique somptueuse, mise en scène limpide, interprétation intense et contrôlée, décors et costumes ingénieux et beaux. Le compositeur a réussi ici une œuvre importante, d’une beauté enveloppante et, par moments fort troublante. » Voir, Octobre 1996
« La mise en scène de Lorraine Pintal est pleine d’invention… Les interprètes sont tous excellents, à tous égards… La masse sonore qui monte du Nouvel Ensemble Moderne… prodigieuse. Costumes, perruques et maquillages sont extravagants, comme le sujet. »
La Presse, Septembre 1996